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Année 2045. 80% de la population a développé des pouvoirs surnaturels, surnommés Alter. Certains les utilisèrent pour semer le chaos, détruire ou réaliser des activités illégales.
D'autres, à l'inverse, utilisèrent leurs nouvelles capacités pour sauver la veuve et l'orphelin, rendant réel le métier autrefois fantasmé de Super-héros, qui devint, au fur et à mesure, une activité reconnue par l'état. C'est ainsi que des écoles se spécialisèrent dans l'éducation de nouveaux justiciers, prêts à affronter ceux bravant la loi : les vilains. La suite

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La rencontre du couturier fou et de l'apprenti nonne. ◄► Feat Eddie GLUSKIN

Sujet: La rencontre du couturier fou et de l'apprenti nonne. ◄► Feat Eddie GLUSKIN Dim 26 Déc - 23:36
Rozen E. Liddell
Mensch
Rozen E. Liddell
Messages : 3
Date d'inscription : 23/05/2021
Dis moi non.On ne peut choisir sa famille, on ne peut choisir réellement son destin, mais nous pouvons décider de qui nous sommes et de ce qu'on peut changer. Je veux changer ce monde pour que le chaos prospère. Je veux que le monde sache ma colère. Il faisait froid.
Le temps était morose.
C’était parfait pour moi.

Je voulais regarder mes films pendant toute la journée, je voulais faire ma vie, ne pas sortir de chez moi et faire comme si le monde extérieur n’était pas présent. Mais tout cela n’était pas possible. Mes parents avaient décidé qu’aujourd’hui même si j’étais en « vacances » je ne pouvais pas rester enfermer dans ma chambre comme si de rien n’était. Je devais partir avec mes parents. Devoir sortir, alors que je ne veux pas est devenu un vrai fardeau.
Je devais toujours faire ce qu’ils voulaient. Ce qui était en soit normal, mais est-ce qu’ils ne pouvaient pas sortir sans moi ? J’étais vraiment obligée de les suivre ? J’avais donc fait un effort vestimentaire, car je les connais. Ils vont me faire des remarques, genre Dieu me regarde, il sait ce que je fais et si je ne fais rien même au niveau vestimentaire, je vais brûler dans les flammes de l’enfers. Je n’attends que ça. Qu’il vienne pour me jeter là-bas. Si drôle.

Après m’être apprêté d’une robe noire, de mes meilleures chaussures et de ma cape, je suis descendue les rejoindre. Bien entendu ils ont voulu que je mette ma croix autour du cou, ce que j’ai fait pour qu’ils me fichent la paix. J’avais demandé où est-ce qu’on allait, ils n’ont pas voulu me le dire. Ils m’ont juste dit de les suivre, mais que j’allais forcément apprécier et les connaissant je n’allais pas apprécier du tout. Je ne sais pas ce qu’ils ont prévu, mais je ne le sens pas. J’étais donc maintenant dans la voiture et tout ce que j’attendais, c’était que le temps passe. Je ne pouvais même pas écouter ma musique, mais j’avais pris mon livre avec moi, je lisais un livre passionnant, j’avais caché la couverture pour faire en sorte que mes parents ne le voient pas. C’était un livre qui parlait de l’emprise du diable, ce n’était pas forcément « satanique » comme on pourrait le croire, mais pour eux ce n’était pas le genre de lecture à avoir.
Pour eux la bible aurait été une meilleure solution comme lecture, mais bon du moment qu’ils n’étaient pas au courant ça allait.
Ce qui me sembla être un voyage interminable se termina devant une église. Ils voulaient sérieusement que j’aille dans une église ? Ce n’était pas le moment, je ne voulais pas du tout ! Mais je savais que ma mère avait son fabuleux plan que je devienne Nonne à sa place.

Quelle idée de vouloir que je réalise son rêve, si elle voulait devenir nonne, il ne fallait pas écarter les jambes comme une catin, c’est bien de vouloir devenir une pute de Dieu, mais il faut le faire jusqu’au bout. Je suis finalement descendue de la voiture et je suis rentrée dans l’église, l’odeur d’une église est toujours particulière et ça me donne souvent mal à la tête, puis celle-ci, il y a tellement de lumière que ça me fait mal. Est-ce normal qu’il y ait autant de lumière ? Ils veulent m’achever. J’ai rencontré le prêtre, je ne voulais pas paraitre gentille, mais le regard de mes parents était vraiment oppressant. J’ai donc fait en sorte d’être polie.
Je l’ai suivi dans son bureau avec mes parents bien entendu, on sait tous ce qu’on dit des prêtres, un pied dans le bureau, une virginité volée.

Il m’avait expliqué de long en large, que je devais choisir un établissement pour faire le catéchisme, aider les croyants ect. Une étape selon lui importante avant de devenir la pu-… une nonne. Je l’avais écouté jusqu’au bout. J’avais essayé tout du long de ne pas rire, mais il était vraiment difficile de l’écouter et me parler comme si j’étais une gentille petite sainte, je fixais mes parents aussi, ils semblaient si fiers, mais si seulement ils savaient. Je voudrais qu’ils redescendent sur terre. Dieu n’était pas un membre de la famille et il n’était pas aussi tout puissant que ça. Je me devais de leur faire comprendre non ? Mais ça semblait peine perdue.

« Je vais réfléchir, la liste des établissements est bien mince... Tout le monde doit se jeter dessus. Peut-être que je devrais aller dans les bas quartiers ? »

Je me suis relevée après avoir dit ça, le regard choqué du prêtre et le regard horrifié de ma mère me suffisait largement à me dire que j’avais réussi mon coup. C’était parfait. Je me suis inclinée et je suis sortie pour rejoindre la voiture aussi vite que possible, j’avais croisé des nonnes sur mon passage, mais je ne leur adressais aucun regard, j’avais remis ma cape et ma capuche sur la tête. C’était bien trop lumineux. Vraiment trop.

Une fois qu’ils étaient revenus, mes parents avaient crié. Trop crié à mon humble avis. Un affront pour Dieu par-ci un manque de respect pour le prêtre par là. Un tu devras quand même choisir par ci et un tu vas rendre visite à tante par-là. Tout était rentré dans l’ordre on va dire.
J’avais arrêté de les écouter, rendre visite à ma tante ? Laquelle ? Mais surtout pourquoi je ferais une telle chose ? Je ne rends jamais visite à qui que ce soit et les repas de famille se font toujours sans moi. Je ne vois vraiment pas pourquoi je devrais rendre visite à une femme qui s’enfiche de moi et donc je me fiche bien.

Ils m’avaient déposé devant l’hôpital psychiatrique. En me disant que ma tante se nommait Gertrude Guglinpin. J’avais soupiré. Avant même que je proteste, ils étaient déjà partis en disant qu’ils reviendraient dans quelques heures. Le bâtiment n’était pas rassurant et j’aimais ça, je suis rentrée pour me présenter à l’accueil, je sentais des regards sur moi et je commençais déjà à me sentir nerveuse, je me souviens maintenant de pourquoi je hais sortir, j’ai retiré ma capuche et j’ai regardé autour de moi. C’était donc là qu’était tante Gertrude. Elle devait sans doute être la honte de la famille, on va dire que nous étions deux. On m’avait laissé entrer et on m’avait expliqué le chemin, on devait me guider, mais au final j’avais suivi ce qu’on me disait, arrivant devant une porte, je me suis dit que ça devait être ça, j’avais lu vite fait et le début correspondait, même si bizarrement j’avais une drôle de sensation vu les personnes qui trainaient là.

J’ouvris la porte sans plus de cérémonie et je dois avouer que ce n’était pas ce à quoi je m’attendais, mais… bon pourquoi pas ?
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Sujet: Re: La rencontre du couturier fou et de l'apprenti nonne. ◄► Feat Eddie GLUSKIN Dim 6 Fév - 17:57
Eddie Gluskin
Angst
Eddie Gluskin
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Darling you're back !Feat#Rozen LIDDELL




Aujourd’hui est une belle journée, tout semblait bien se déroulé. Je pense à toi constamment, quand va tu revenir me voir ? Ici cela dépend des moments, parfois je me sens heureux, comme si chaque petite chose était fantastique et parfois, comme maintenant, j’ai l’impression de sombré. Comme si quelque chose me voulait du mal. Encore une fois, hier dans la journée, ils ont tenté de me parler, me parler de toi Darling. Ils font semblés que je suis leurs priorités, mais tu reviens toujours sur le tapis. Non pas que je déteste ça, mais pourquoi dire que tu es morte ? Je ne comprends pas et je refuse de comprendre. Aujourd’hui encore, alors j’ai voulu prendre les choses en mains et rendre cette journée parfaite ! J’ai mis mon plus beau costume pour toi, mais encore une fois, ils ont voulu jeter ma création, cette bande de sal*pe veulent vraiment me mettre en rogne. Pourtant je me suis retenu, car aujourd’hui je veux que tout soit parfait.

Tu es venu aujourd’hui, encore une fois tu as réussi à obtenir ce que je t’ai demandé ! Qu’elle joie, tu es la meilleurs Darling ! Enfin j’ai une radio, cela fait des mois que j’en voulais une pour pouvoir travailler en musique sur la robe de mariée ! J’aime tellement passer du temps avec toi, quand nous parlons, j’ai l’impression que rien d’autre n’as d’importance. C’est bien pour sa que je t’aime si fort, mais la visite aujourd’hui a étais écourté, pourquoi dois-tu toujours partir ? Tout devait être parfait ! Ai-je échoué quelque part ? Dis-moi ce que j’ai fait de mal ! Très bien sale p*te, tu me quitte ? Alors va ! Tu reviendras encore comme si de rien n’étais ! Je ne te pardonnerais pas aussi facilement !

Maintenant que je suis seul, dans cette même pièce, j’ai décidé d’utiliser la radio pour pouvoir écouter un peu de musique pour travailler sur ma création de la semaine, la magnifique robe de mariée de Darling. Même si elle est un peu disgracieuse, j’aimerais qu’elle la porte, se serais merveilleux. Mais je bloque sur un point, le rendu de l’arrière de la robe me semble… Imparfait. J’ai donc pris mon livre de couture pour réfléchir a comment réglé ce petit problème. Alors que tout semblait un peut plus clair dans ma tête.

Devant mon travaille inachevé je commence a arraché le tissu, ce n’est pas parfait, Darling ne l’aime pas, je dois tout recommencer, après avoir détruit ce que j’ai accomplis jusque-là, j’ai repris à nouveau la confection de la robe. J’ai posé le tissu au sol bien a plat et mis quelque livre pour le maintenir, ensuite j’ai déposé le patron en suivant bien le sens du tissu, et encore une fois, du demandé qu’on me rapporte des épingles et mes ciseaux de couture. Je maintiens le fais qu’on devrait me les laisser bon sang. Surtout que je déteste le fait qu’on me surveille quand j’utilise mon matériel. M’enfin, j’ai simplement accroché le patron au tissus grâce aux épingles et j’ai pu découper le contour soigneusement… Et redonné les ciseaux quand j’ai eu terminé avec, et nous avons joué à ce jeu pendant un moment. Au point qu’elle oublia les aiguilles et les épingles. Même derrière la porte je ne la voyais pas, je pourrais sortir, mais j’ai fermé la porte pour reprendre le travail.

Maintenant que j’ai la paix, j’ai pu allumer ma radio, qu’elle bonheur de se plonger dans son activité préférée en musique. Mais, combien de temps je pourrais la garder avant qu’on me la retire ? Plus je me plongé dans mon travail, assemblent les parties ensemble, retirent les épingles petit à petit les gardent entre mes lèvres. Quand je terminé, je les replacer a d’autre endroit pour reprendre ma couture.  Plus mes pensées vaguées ailleurs, sans ma rendre compte la pièce s’assombrie petit a petit, laissant place à des murmures, des images sur les murs montrait ce que je vivais à l’asile à Schöne Erde, mais sa s’authentifié tellement que j’en perdais ma concentration sur mon projet. Mon visage me démangé de plus en plus, comme si la douleur vive n’existe pas, j’ai continué a gratté frénétiquement. Je ne veux pas voir ça, pas encore, je veux que ça s’arrête. Soudain, j’ai entendu la porte s’ouvrir, tiens ce n’es pas la casse couille, mais…

« Darling ! Tu es revenu ! »

Soudain les visions et les murmures ont cessé, comme si la pièce s’illuminé a nouveau, Darling, tu es le soleil de ma vie ! Les épingles tombèrent au sol, sur la carcasse du tissu malmenais au sol... Je rangerais plus tard. Tiens tiens, mais tu as… Changé ? Tout ce qui est disgracieux chez toi a disparu ? Mon dieu, tu seras si belle dans ta robe de mariée. J’ai tourné la tête vers la robe déchiré… Ah oui je ne m’en suis pas débarrassé non plus.

« N’y prête pas attention, elle était ratée de toute façon. Pourquoi es-tu revenu ? Je pensais que tu ne voulais plus me voir. »

Je suis ensuite allais éteindre la radio, car je veux entendre la douce voix de Darling, qui m’as temps manqué. C’est si inhabituel qu’elle vienne 2 fois dans la journée. Es qu’elle en a le droit ? Je ne sais pas mais j’espère que ce n’es rien de grave. As t’elle mal pris mes insultes ? Je suis désolé de ma violence verbale, mais je t’aime toujours, c’est tout ce qui compte non ?

« Oh installe toi va y ne reste pas à l’entrée Darling, si tu reste planter la l’autre salope va encore venir nous faire chier. »

Je gardé un large sourire, après tout ce que je disais, je le pensé complétement. Je déteste les gens ici. J’ai repris ma place sur la chaise de bureau près de la machine à coudre pour l’éteindre également, je n’en ai pas besoin pour le moment, je reprendrais plus tard la confection de la robe. J’ai également pris soins de retiré le tissu de la machine pour le posé sur le côté.
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Sujet: Re: La rencontre du couturier fou et de l'apprenti nonne. ◄► Feat Eddie GLUSKIN Dim 13 Fév - 20:20
Rozen E. Liddell
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Rozen E. Liddell
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Date d'inscription : 23/05/2021
Dis moi non.On ne peut choisir sa famille, on ne peut choisir réellement son destin, mais nous pouvons décider de qui nous sommes et de ce qu'on peut changer. Je veux changer ce monde pour que le chaos prospère. Je veux que le monde sache ma colère. Je dois bien avouer que sortir n’était pas la meilleure des choses que j’aimais.
Il était vrai que j’aimais rester chez moi, dans ma chambre, ne pas faire de connaissance, ne pas faire copain copain avec des personnes que je ne connais pas. C’est pour ça quand mes parents ont voulu sortir je savais que c’était une mauvaise idée. Cela ne pouvait rien apporter de bon. Mais quand ils ont une idée, c’est terminé, nous ne pouvons plus rien faire pour qu’ils changent d’avis malheureusement.  Alors quand je suis arrivée dans cet hôpital. Cet endroit qui enferme mille et une personne incomprise, je me suis dit OK, ils avaient bu, mais bon là c’était pour la famille. Cette famille que je ne connais pas.

Comme d’habitude je m’étais dit je vais avancer toute seule, je n’ai besoin de personne, j’avais juste suivi les instructions qu’on m’avait donné. Comme d’habitude j’avais ouvert les portes sans vraiment faire attention à ce que je faisais. J’avais juste lu le début du nom et vu que ça ressemblait je n’avais pas cherché plus loin, mais peut-être que pour le coup j’aurai dû regarder ? Devant ce n’était pas tante Gertrude, mais un homme bien grand qui était devant moi. Le son de la radio avait résonné pendant quelques secondes. J’ai cligné des yeux plusieurs fois.
C’était bien la première fois qu’on m’appelait Darling ? Mais il me parlait comme si on se connaissait, pourtant je jure que c’est la première fois que je le vois.
Il me confond sans doute avec quelqu’un d’autre, mais je ne me voyais mal lui dire tout de suite, sachant qu’il entamait un petit monologue.
Quand il éteignit la radio, j’ai regardé la chambre d’un coup d’œil, elle était bien triste cette chambre, mais depuis quand ils peuvent avoir des machines à coudre ? Comme quoi les films et les réalités, c’est toujours différent.

Je sais que j’aurai peut-être dû partir, je sais que j’aurai dû me dire que quand il a parlé « d’une salope » j’aurai sans doute dû l’appeler, mais non. Au lieu de ça, j’ai juste fermé la porte derrière moi et je me suis avancée. J’ai regardé les tissus qui trainaient ici et là et je faisais bien attention à ne pas marcher dessus ou de faire tomber quoi que ce soit, je sais que j’ai l’air de manquer de respect comme une petite pucelle de Dieu qui oublie sa prière du soir, mais je ne suis pas comme ça avec tout le monde non plus. Je ne savais pas vraiment où m’installé, alors je restais debout, je gardais tout de même une certaine distance avec cet homme que je ne connaissais pas.

« Qui est cette fameuse salope ? »

Je dois avouer que ce n’était sans doute pas la première chose que je devais dire, mais c’était plus fort que moi, je devais savoir qui était cette personne qui ne semblait pas très sympathique.
Je le regardais de haut en bas pour mieux voir à quoi il ressemblait, il semblait vieux… Enfin vieux par rapport à moi, même si ça ce n’est pas compliqué. Ses habits étaient classes, mais pas classe dans le sens tout beau tout propre, mais je note l’effort on va dire, là aussi je trouve ça étrange qu’il porte des vêtements, même si je dois avouer que ça se voit qu’il a piqué du tissu par-ci par-là, on fait avec les moyens du bord comme on dit.
Cependant son visage, il saignait ? On est d’accord qu’il saigne clairement, comment ça se fait que personne ne soit là pour soigner tout ça ? Il était bien amoché en tout cas, pas ouf le concept quand même.

Je jouais un peu avec ma cape, je devais peut-être lui dire que je n’étais pas la Darling qu’il attendait non ? Je pense que c’était sans doute une bonne idée, je sais que parfois il faut rentrer dans le délire des personnes, mais là je pense que ça ne se fait pas, surtout qu’il prépare un sacré truc donc se faire passer pour quelqu’un qu’on n’est pas, ce n’est pas ouf.

« Je suis désolée, mais je ne suis pas « Darling ».  Elle ressemble à quoi, je peux peut-être dire si je l’ai vu ? »

Je me suis approchée doucement, je n’avais pas spécialement peur, même si peut-être j’aurai sans dû, mais bon je n’en ai rien à faire, j’ai regardé de nouveau les tissus. Il devait sacrément l’aimé pour confectionner une robe en étant ici, mais est-ce que cette personne existe vraiment ?

« J’étais là pour ma tante Gertrude, mais vous n’êtes pas tante Gertrude, on s’est trompés tous les deux. Mais on peut quand même discuter si vous voulez ? »

Alors là vraiment je pense que si Dieu était présent, il me dirait que je me fous en danger pour rien et qu’essayer d’avoir une discussion avec quelqu’un enfermé ce n’était sans doute pas les bons bail, mais qu’importe, je suis finalement aller m’installer sur le lit, en même temps s’asseoir ailleurs aurait été compliqué, après tout nous ne sommes pas dans un salon, mais dans un asile qui n’a pas une sécurité de ouf.
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Sujet: Re: La rencontre du couturier fou et de l'apprenti nonne. ◄► Feat Eddie GLUSKIN
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